croquantes

« Croquantes », contes à savourer

Susana chante et rythme ses récits métissés portées par le souffle des traditions qu’elle fait vivre et vibrer pour nous, aujourd’hui. Elle chante dans sa langue de coeur, le castillan. Elle conte dans sa langue de choix, le français. Contes, mythes, légendes, récits contemporains… Susana Azquinezer tisse l’ensemble tout en nuances au fil rouge d’odeurs, senteurs, saveurs, épices et parfums.
Du bout du monde à Montpellier, s’asseoir pour entendre à l’ombre d’un arbre qui étale ses racines dans le Temps. Histoires vertes ou bien mûres, épicées, confites ou en dentelles, mille feuilles d’histoires contées ! Goûts, parfums, délices des palais…
Avec son enthousiasme sud-américain et son humour yiddish, Susana nous fait partager sa richesse et nous donne à voir ces mondes lointains qui nous habitent. Du rire au merveilleux, créant à chaque phrase une image, à chaque rencontre une émotion nouvelle, la rencontre de l’autre éclaire la diversité en éveillant notre humanité.
Un goût de liberté ! Des histoires à savourer, à croquer, à craquer, à éveiller, à garder en mémoire ! Bienheureuses celles qui savent rire d’elles. Ca leur donne des ailes !

DURÉE : 50 min. à 1H.20 – spectacle tout public de 7 à 120 ans !

« Susana restitue avec sensibilité et poésie, avec humour et sincérité, avec dynamisme et élégance, les couleurs, les saveurs, les odeurs, les personnages, les émotions… Elle parle comme elle chante, elle sourit, elle envoûte, elle enchante, elle conduit un succulent voyage que chacun se construit, s’imagine, se déroule au gré de la parole. Une belle leçon de vie à partager en famille ». L’Hérault du Jour

« Ce sont les mille et une histoires de son peuple, la Terre qu’elle dit, qu’elle vit… Le noir, pinceaux de lumière, la voix qui porte toujours la chaleur de l’impétuosité de l’Argentine natal… la danse, le chant, la fougue de cette petite femme qui emplit de ses paroles la salle entière. Les histoires s’enchaînent, s’emboîtent… Un public qu’elle porte dans ses bras, dans sa voix. »

Le Courrier de l’Ouest